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Nous aurons l'honneur de recevoir:
- Lionel ZINSOU, banquier d'affaire franco-béninois et afro-optimiste.
Il est aussi PDG de PAI Partners, Membre du Comité directeur de
l'Institut Montaigne et Conseiller spécial du Président du Bénin.
- Soumaïla CISEE, Candidat à la Présidence du Mali, Ancien Président de la Commission de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) et Ancien Ministre de l'Economie et des Finances du Mali.
-Serge MICHAILOF, économiste, Ancien Directeur Exécutif Chargé des Opérations de l’Agence Française de Développement et Ancien Directeur Opérationnel à la Banque Mondiale.
Rompant avec la morosité des années 1980 et 1990, l'Afrique a connu au cours de la dernière décennie un redressement économique significatif, qui s'est notamment traduit par une croissance spectaculaire de son PIB. Avec un taux de croissance moyen de 5,2% entre 2001 et 2010, les pays africains caracolent en tête des économies les plus dynamiques, et les perspectives pour les années à venir sont généralement optimistes. Cependant, la perception la plus répandue, aussi bien parmi les populations africaines que dans l'opinion publique internationale, reste celle d'une Afrique "mal gérée". Y aurait-il un paradoxe africain?
D'autre part, pour que la croissance soit un levier efficace de réduction de la pauvreté, il est nécessaire que les ressources financières qui en découlent soient bien gérées. Les attentes croissantes des populations en matière d’infrastructures, d’énergie ou de services publics de qualité ne font qu’accentuer cet impératif de bonne gouvernance économique et financière.
Plus largement, l'Afrique a-t-elle définitivement tourné la page du sous-développement? La croissance de la dernière décennie est-elle porteuse d'un développement durable? Quels sont les enjeux de la gouvernance économique et financière pour l'Afrique ? Quels sont les défis qui restent encore à relever ?
- Soumaïla CISEE, Candidat à la Présidence du Mali, Ancien Président de la Commission de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA) et Ancien Ministre de l'Economie et des Finances du Mali.
-Serge MICHAILOF, économiste, Ancien Directeur Exécutif Chargé des Opérations de l’Agence Française de Développement et Ancien Directeur Opérationnel à la Banque Mondiale.
Rompant avec la morosité des années 1980 et 1990, l'Afrique a connu au cours de la dernière décennie un redressement économique significatif, qui s'est notamment traduit par une croissance spectaculaire de son PIB. Avec un taux de croissance moyen de 5,2% entre 2001 et 2010, les pays africains caracolent en tête des économies les plus dynamiques, et les perspectives pour les années à venir sont généralement optimistes. Cependant, la perception la plus répandue, aussi bien parmi les populations africaines que dans l'opinion publique internationale, reste celle d'une Afrique "mal gérée". Y aurait-il un paradoxe africain?
D'autre part, pour que la croissance soit un levier efficace de réduction de la pauvreté, il est nécessaire que les ressources financières qui en découlent soient bien gérées. Les attentes croissantes des populations en matière d’infrastructures, d’énergie ou de services publics de qualité ne font qu’accentuer cet impératif de bonne gouvernance économique et financière.
Plus largement, l'Afrique a-t-elle définitivement tourné la page du sous-développement? La croissance de la dernière décennie est-elle porteuse d'un développement durable? Quels sont les enjeux de la gouvernance économique et financière pour l'Afrique ? Quels sont les défis qui restent encore à relever ?